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		                                    Maghen Abraham		                                </span>
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M A Weekly Bulletin - PARACHAT BO 23 JANVIER 2021 / 10 SHEVAT 5781

01/21/2021 11:42:55 AM

Jan21

M.A. WEEKLY 
CHABBAT PARACHAT   BO

SHABBAT TIMES
candle lighting 4:29 pm
chabbat morning  am
havdalla :5:37  pm

 

 

 

PARACHAT BO 

23 JANVIER 2021 / 10 CHEVAT 5781

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Nous célébrons Tou Bichvat le jeudi prochain 28 janvier 

Le Roch Hachana des arbres  

Pas de Tahanunim dans les prières 

Vous trouverez un article intéressant sur cette petite fête dans ce bulletin  

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Nous avons le regret d’annoncer le décés causé par Covid-19 de Perla Pimienta  (zl) mère et belle-mère de  Ari Pimienta et Raquel Saad 

Maghen Abraham présente ses plus sincères condoléances aux familles Pimienta et Saad

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BO - EN BREF

Exode 10, 1 - 13, 16

Les trois dernières plaies s’abattent sur l’Égypte : un immense nuage de sauterelles dévore toutes les plantations ; une obscurité épaisse et palpable enveloppe le pays et tous les premiers-nés de l’Égypte sont tués à minuit du 15ème jour du mois de Nissan.

D.ieu ordonne la première Mitsva au peuple d’Israël : établir un calendrier basé sur la renaissance périodique de la lune. Les Israélites doivent également offrir à D.ieu un « sacrifice pascal » : un agneau ou un chevreau doit être égorgé et son sang doit être aspergé sur les montants et le linteau de la porte de chaque foyer juif afin que D.ieu « saute par-dessus » ces maisons lorsqu’Il ira tuer les premiers-nés égyptiens. La viande grillée du sacrifice devra être consommée ce soir-là avec de la Matsa (du pain azyme – non levé) et des herbes amères.

La mort des premiers-nés finit par briser la résistance de Pharaon et il renvoie les Enfants d’Israël de sa terre. Ils partent en telle hâte que leur pâte n’a pas le temps de lever et le seul pain qu’ils peuvent emporter est de la Matsa. Avant de partir, ils demandent à leurs voisins égyptiens de l’or, de l’argent et des vêtements, vidant l’Égypte de ses richesses.

Les Enfants d’Israël reçoivent le commandement de consacrer tous leurs premiers-nés et de célébrer l’anniversaire de l’Exode chaque année en éliminant tout levain de leurs possessions pendant sept jours, en mangeant de la Matsa et en racontant l’histoire de leur délivrance à leurs enfants.

Il leur est aussi commandé de porter des Téfilines sur le bras et la tête chaque jour (sauf le Chabbat et les jours de fête) pour se rappeler l’Exode et leur engagement envers D.ieu qui en a découlé.

La dixième plaie

 

La mort des premiers-nés fut la dixième d’une série de plaies infligées aux Égyptiens. Mais il y eut une différence fondamentale entre cette plaie et les neuf précédentes, une différence qui touche à la nature et à la fonction mêmes des plaies.

Le principal objectif des neuf premières plaies était de provoquer une prise de conscience chez les Égyptiens. Comme l’a dit Moïse à Pharaon :

Ainsi a dit D.ieu : « Par ceci tu sauras que Je suis D.ieu : je frapperai... les eaux du Nil, et elles se transformeront en sang. »

Si tu ne laisses pas partir Mon peuple, Je vous enverrai des essaims de bêtes sauvages... afin que tu saches que Je suis D.ieu.

Encore une fois, J’envoie toutes Mes plaies... afin que tu saches que nul n’est comme Moi sur toute la terre.3

La dixième plaie, cependant, fut plus qu’une démonstration de la puissance divine : elle vint punir et détruire, briser l’Égypte et libérer Israël de son sein.

Cela permet de comprendre une surprenante différence entre les neuf premières plaies et la plaie des premiers-nés. Les neuf premières plaies ne menaçaient que les Égyptiens, elle n’avaient aucun effet sur les enfants d’Israël.4 Le Midrash nous dit que pendant la plaie du sang, si un Égyptien et un Juif buvaient du même verre, le Juif buvait de l’eau tandis que l’Égyptien buvait du sang. Il enseigne que lors de la plaie des ténèbres, un Juif pouvait pénétrer dans la maison d’un Égyptien baignant dans la lumière du jour, tandis que pour l’Égyptien, le monde était plongé dans l’obscurité. Mais s’agissant de la plaie des premiers-nés, les Juifs y étaient tout aussi vulnérables que leurs voisins égyptiens, et une série de mesures de protection durent être prises pour que les premiers-nés juifs ne meurent pas également.

Les Juifs reçurent le commandement de faire un sacrifice pascal (korbane pessa’h) à D.ieu, c’est-à-dire d’abattre un agneau ou un chevreau, d’asperger son sang sur les deux montants et le linteau de la porte de leurs maisons, et de manger sa viande ce soir-là avec de la matsa et des herbes amères. Cette nuit-là, les Juifs se circoncirent également. Ce n’est que par le mérite de ces deux mitsvot que les premiers-nés juifs furent épargnés. (À ce jour, tous les premiers-nés juifs ont le devoir de jeûner la veille de Pessa’h en reconnaissance du fait qu’ils auraient dû eux aussi mourir dans la plaie des premiers-nés.) Selon les paroles du prophète : « Je suis passé au-dessus de toi, et Je t’ai vue gisant dans ton sang (c’est-à-dire le sang de la circoncision et le sang du korbane pessa’h), et Je t’ai dit : “Par ton sang tu vivras !” »5






 

Wearing Tefillin

This week we read that there is a positive commandment to wear Tefillin. 

 

A) Who has to wear Tefillin?

Although the straight reading of the verse indicates that every Jew must do so, the rabbis established that women don’t have to. This is because the rabbis determined that Tefillin should not be worn at night (this is not explicit in the Torah), and since it can only be worn in the day according to them it is a time bound command and women are not obligated to do time bound commandments.  However, they obviously will get rewarded if they do, just like if they listen to the shofar, sit in the sukka, shake the lulav, etc. all of which they don’t have to do, but nonetheless it is praiseworthy and they get rewarded by God, if they make the extra effort to fulfill His commandments.  Although it has become common to listen to Shofar and sit in the Sukka, it has not become as common for women to wear tefillin or talet.  I don’t see that many women shake the lulav either, but many do at home and some even in synagogue.

Women are also not obligated to study Torah, yet this year there was a women’s Daf Yomi siyum and many seminaries and schools were women learn at the same level as their male yeshiva counterparts.  I read recently that one of the organizers of the women’s siyum had studied in the Yeshiva of Flatbush in Brooklyn, NY which she credits with showing her, unlike most other yeshivot, that women can study Torah the same way men can. 

 

 

B) Why don’t we put on Tefillin on Shabbat and Yom Tov and have you ever wondered why we take it off before mussaf of Rosh Hodesh?

         The Torah says “And it shall be for you a sign.” This teaches us that we only put on Tefillin when we need a sign.  Shabbat and Yom Tov are signs by themselves, so we don’t wear Tefillin on those days. Hol Hamoed is not a ‘sign’ and therefore according to the Torah we should wear Tefillin on Hol Hamoed but it seems that this law changed at a future date (influenced by the kabbalists, a few hundred years ago) and it became customary among some communities not to wear Tefillin on Hol Hamoed (the Shulchan Aruch actually forbids it (even though his own uncle wore Tefillin as he attests), but others disagree and allow it and some require it).

The reason we remove the Tefillin before praying Mussaf of Rosh Hodesh is because we are reciting Keter instead of Nakdishach in the Kedusha of the hazara of the Musaf which is almost like a holiday.  Rosh Hodesh is not a “sign” and therefore we should wear tefillin on Rosh Hodesh (and do wear tefillin). However, also likely a kabbalistic influence, the custom became that we take it off before praying Musaf as if Rosh Hodesh is a Yom Tov.

 

C) Why must we put Tefillin on the side of our arm facing the body and why do we have the custom to cover the Tefillin with something?

         The Torah says “It shall be for you a sign” The Gemara learns from here “It shall be a sign for you and not for others”.  This means that the Tefillin shall be only for you, and not seen by others.

 

D) Why do we first put on the Tefillin of the arm and then the Tefillin of the head? 

         Because first the Torah says “on your hand” and afterwards it says “between your eyes (i.e. your forehead)” so that is the order we put them on.

 

E) If the Torah says “between your eyes”, why do we put the Tefillin above the eyes?

When the Torah forbids making a mark on one’s forehead, the Torah says “between your eyes.”  We are taught that this means the forehead, because that is where people would make a mark in those days, so here too it must mean on the forehead.

 

 

 Première Mitzvah donnée à la nation juive :

 

Le calendrier grégorien est le calendrier utilisé dans la majeure partie du monde. Il est basé sur le cycle solaire : une année est approximativement le temps mis par la Terre pour faire un tour complet autour du soleil, soit 365.242199 jours. C’est pour cela que l’année usuelle fait 365 jours sauf les années bissextiles qui en font 366. Le point de départ de l’ère commune, l’an 1

 

Le calendrier juif est à la fois lunaire et solaire. Il est composé de mois lunaires de 29 ou 30 jours. Pour éviter qu’il ne soit complètement indépendant du rythme des saisons (ce qui est le cas dans l’islam) défini par la position de la Terre par rapport au Soleil , on ajoute périodiquement un mois supplémentaire, de sorte que la fête de la Pâque (Pessah) est toujours célébrée au printemps. Ce mois intercalaire est un redoublement du mois de adar, qui précède immédiatement celui de nisan, au cours duquel sera célébrée la pâque. Il est désigné communément par la formule « adar beth » (adar b) ou adar II.

Une telle année avec 2 mois de Adar, comme le sera l’année 5771 est appelée année embolismique , du grec embolismos : intercalaire. En hébreu : méoubérêt (pleine).

 

Les noms des mois sont d’origine babylonienne. Nous ignorons les noms que portaient les mois aux temps bibliques, à supposer qu’ils en aient tous porté.

Mois - Durée - Équivalent Grégorien

 

 Tishri 30 jours Septembre-Octobre

 H’eshvan 29 ou 30 jours Octobre-Novembre

 Kislév 30 ou 29 jours Novembre-Décembre

 Tévét 29 jours Décembre-Janvier

 Shevat 30 jours Janvier-Février

 Adar 29 ou 30 jours Février-Mars

 Adar II 29 jours Mars-Avril

 Nissan 30 jours Mars-Avril

 Iyar 29 jours Avril-Mai

 Sivan 30 jours Mai-Juin

 

 Tammouz 29 jours Juin-Juillet

 Av 30 jours Juillet-Août

 Eloul 29 jours Août-Septembre

 

 

What is an Ewe?

When Benei Yisrael were leaving Egypt, they were commanded to slaughter and eat a lamb, and to do so every year during the first month in the spring, on Pesah. Ramban explains that the month of the exodus, Nissan, is also the time of year that is associated with the constellation Aries (It is interesting to note that modern day astrology still places Aries as the first zodiac sign and starts the year in early spring with Nissan).  Aries is a Ram (for those unfamiliar a lamb is less than 1-year-old, then it is called a sheep.  A fully mature female sheep is called an Ewe and a male is called a ram.  So now you know what a ram is. Try not to get confused as ram, lamb, sheep, ewe are all the same animal.  There are even more terms, but this is sufficient for now.)  

God wanted to show the Egyptians and even more importantly to show Benei Yisrael that the miracles and the Exodus have nothing to do with astrology and was not due in any way to the ‘power’ of the stars; everything is from God.  In those days (and unfortunately still today by many people, including people who believe they are Jewish and following the Torah) people believed that the astrological signs influenced what happened on earth. They would even try to manipulate the stars or do things when it is an auspicious time based on which star was dominant and had more power at the time.  The term for this is Avodat Kochavim U’Mazalot and is one of the greatest violations of Jewish Law. Some people even wish others that they have a good Mazal – that the constellation be favorable to them.  Mazal Tov.

For this reason, God commanded the people to slaughter and eat the animal that people might erroneously attribute the miracles to, and this way, every spring, when the astrologers look up to Aries as the first constellation, we instead slaughter Aries and remind ourselves that Aries has no power over us (and no power at all actually). Thousands of years later and we still have not learned the lesson. 

 

Tout ce que vous devez savoir sur le Nouvel An des arbres !

 


 

Tou Bichevat apparaît dans le Talmud (Roch Hachana 2a) comme l’un des quatre « Nouvel An » du calendrier juif :

« Bet Hillel affirme que le "Nouvel An des arbres" est célébré le 15 Chevat : Tou Bichevat. »

À Tou Bichevat, nous avons l’habitude de consommer des fruits des sept espèces pour lesquelles la terre d’Israël est exalté : « … une terre de blé, d’orge, de raisin, de figuiers et de grenades, une terre d’oliviers et de [dattes] miel » (Deut. 8:8).

Dans l’Israël moderne, Tou Bichevat est une sorte de Jour de l’Arbre juif, un jour où l’on met l’accent sur la préservation de l’environnement et durant lequel on plante des arbres pour marquer l’occasion.

Les lois agricoles en Israël

La date de Tou Bichevat possède une importance majeure dans le calcul des lois agricoles applicables en terre d’Israël.

Parce qu’il marque le « Nouvel An des arbres », Tou Bichevat constitue la date butoir dans le calendrier hébraïque pour déterminer l’âge des arbres fruitiers.

En d’autres termes, on considère que chaque arbre a son « anniversaire » à Tou Bichevat. Cela signifie que si vous avez planté un arbre quelques semaines avant Tou Bichevat, il entame sa deuxième année à Tou Bichevat ; tandis qu’un arbre planté à ce moment-là n’atteint sa deuxième année que le Tou Bichevat suivant.

Considérez Tou Bichevat comme « l’année fiscale » de l’agriculture.

En voici les implications pratiques : au cours des trois premières années de l’existence de l’arbre, ses fruits sont interdits à la consommation en raison de l’interdit biblique d’Orla (Lévitique 19:23). 

Lorsqu’on mange des fruits ayant poussé en Israël, il faut effectuer le prélèvement de manière conforme ; dans le cas contraire, les fruits ne sont pas cachers.

Les bénédictions sur les fruits

La bénédiction appropriée avant de manger un fruit :

« Baroukh Ata Adon-naï, Elohénou Melekh Haolam, boré péri Haets. »

« Béni sois-Tu, Roi de l’Univers, qui crées le fruit de l’arbre. »

[On récite une bénédiction différente sur quelques rares fruits, comme l’ananas, - le dernier mot devenant « Haadama. »]

À Tou Bichevat, on a également l’habitude de consommer un fruit en sa primeur ; un fruit de saison que vous n’avez pas encore goûté à cette saison, et on récite la bénédiction suivante :

« Baroukh Ata Ado-naï, Elohénou Melekh Haolam, chéhé’hiyanou, vékiyemanou, véhiguiyanou lazeman hazé. »

« Béni sois-Tu, Dieu notre Seigneur, Roi de l’univers, qui nous as maintenus en vie, nous as soutenus et nous as permis d’atteindre ce temps. »

Lorsqu’on consomme deux aliments ayant la même Berakha, par exemple une date et une pomme qui nécessitent toutes deux la récitation de la bénédiction de Haets, il suffit d’une seule Berakha pour s’acquitter de ces deux aliments.  

Si vous compter manger plus qu’une espèce de fruit, le principe est le suivant : dites une bénédiction sur l’aliment le plus important des deux. Le Code de la Loi Juive (Choulkhan Aroukh 211) expose un ordre spécifique dans lequel il faut réciter la bénédiction (et par conséquent, indique quel aliment manger en premier).

L’élément déterminant pour définir l’ordre de priorité est celui de la hiérarchie des « sept espèces ».

 Ainsi, lorsque vous vous trouvez devant deux aliments ayant la même Berakha, par exemple des dattes et des pommes, vous réciterez Haets sur les dattes puisqu’il s’agit de l’une des sept espèces.

[Le statut spécifique des « sept espèces » s’applique même à des produits non israéliens. Bien que toutes choses égales par ailleurs, on accorde la préséance aux produits poussant en Israël par rapport à ceux de Diaspora.]

 

ans la tradition juive, les nombres revêtent une signification spéciale et peuvent véhiculer des réflexions cruciales à notre compréhension de l’histoire juive.

Israël a raflé la onzième  place dans le second classement mondial du bonheur. Quel est son secret ?

 


 

Israël occupe la 11ème place dans le second rapport mondial des Nations Unies sur le bonheur, soit trois places de mieux que lors du précédent. En tête de liste, on trouve le Danemark, la Norvège et la Suisse – paradis du « politiquement correct », de la sécurité sociale, du pacifisme et des sentiments ultralibéral et antinationaliste. Ces pays modèles sont également en tête de liste des lieux les plus « pacifistes » au monde.

Alors, comment peut-on expliquer la notion de bonheur en Israël ? Le seul pays civilisé en danger de mort. La seule nation aux frontières non-reconnues, caractérisée par le reste du monde comme le symbole du mal.

Pour ceux qui vivent en dehors d’Israël, c'est un mystère. Et probablement également pour de nombreux Israéliens. Comment est-il possible qu’une population qui vit constamment sous pression et qui se ghettoïse derrière de nouvelles lignes Maginot soit si heureuse ? 

Plus encore, comment les juifs peuvent-ils être heureux quand l’Iran s’arme nucléairement et menace d'effacer le pays de la carte du monde ? Comment peuvent-ils être heureux quand tous les jours les arabes lancent des missiles sur les populations d'Ashkelon, de Beersheva, d'Ashdod et de Sderot ? Quels sont les origines de ce bonheur que connait le seul membre de l’ONU condamné à mort et boycotté dans le monde entier ?

On constate que les Israéliens sont bien plus heureux que les autres nations européennes ayant connu la seconde guerre mondiale. En effet, la population de l’État juif dépasse les 7,5 millions, soit un nombre neuf fois plus élevé qu’en 1948, année de la création de l’état. Premier facteur contribuant donc à ce bonheur : le succès démographique. Si l'on tient compte des faibles taux de natalité et des forts taux d’assimilation des juifs de la Diaspora, il ne faudra pas longtemps avant que la plupart des juifs du monde deviennent israéliens.

Bien que l’héroïsme juif et le collectivisme israélien ont laissé place à l’individualisme occidental, à l’introspection et à la recherche de plaisirs frivoles, le bonheur israélien signifie bien plus que le rêve américain de posséder « une grande maison et une belle voiture ». En effet, il se situe à l’intersection entre plaisir et signification : « une nation comme toutes les autres », mais également « une lumière parmi les nations ».

Croyance en Dieu

Avec une espérance de vie plus élevée que dans n’importe quel autre pays du monde, les Israéliens sont heureux parce que l'Histoire de leur pays est brillante. Israël produit le plus grand nombre de publications scientifiques par habitant au monde, et le nombre de musées par habitant, ainsi que le nombre de nouveaux livres publiés figurent également parmi les plus élevés. Notons par ailleurs que ces derniers années, dans un pays comme Israël ravagé par la guerre, cinq Israéliens ont remporté le prix Nobel.

Autre facteur contribuant à ce bonheur : le succès économique. Israël a une réputation de « nation start-up » grâce à une industrie high-tech florissante. Aucun autre pays industrialisé ne fait mieux, surtout pour un pays qui ne possède aucune ressource naturelle et a une population qui fait environ la moitié de la population belge.

Malgré un tissu social profondément divisé entre juifs ultra-orthodoxes et Israéliens laïques, nationalistes et gauchistes, deux tiers des Israéliens croient en Dieu. Ils maintiennent ainsi l’espoir et le sentiment que leur vie a un sens et un but plus élevé. Les Israéliens se sentent également attachés à la terre d’Israël, un fait à prendre en considération lorsque l’on sait qu'en occident l’amour patriotique est un sujet tabou. 

Dans l’ensemble, la population israélienne est très résistante. Une nouvelle étude menée par le gouvernement montre que les vagues de violence liées aux Intifada n’ont pas affecté le moral de la nation. De plus, les Israéliens se sentent protégés par la centrale nucléaire de Dimona et l’armée de Tsahal, même si cette dernière a perdu de sa célèbre force de dissuasion.

Enfin, la plus importante des raisons est que le bonheur israélien reste un mystère et une source d'inspiration pour tous les hommes libres. Lorsque l'on compare le taux de natalité au taux de suicide, on peut nettement observer la proportion de gens qui ont choisi de créer de nouvelles vies par rapport à ceux qui ont choisi de détruire la leur. C'est pourquoi les juifs gagneront certainement une guerre de cent ans menée contre un ennemi prêt à sacrifier tous ses enfants pour jeter les Israéliens à la mer.

En Israël, les occasions de célébrer la vie sont bien plus nombreuses que les oraisons funèbres. Voila le secret du bonheur israélien : être un flambeau de vie à la frontière entre la survie et la destruction, sachant qu'au final la vie triomphera sur la mort.

 

 

Commandement de la Torah:

Tu raconteras à ton fils en ce jour. Exode 13,8

 

D.ieu ordonna alors aux Juifs de célébrer l’anniversaire de l’Exode chaque année lors de la fête

de Pessa’h. Un élément essentiel de cette célébration serait le récit de l’histoire de l’Exode fait

aux enfants. Pour les enfants

 

וְהִגַּדְתָּ לְבִנְךָ בַּיּוֹם הַהוּא לֵאמֹר וגו': (שמות יג:ח)

Fait intéressant, le commandement de raconter l’histoire de l’Exode – qui constitue la source de

la célébration annuelle du Séder de Pessa’h – est donné dans le contexte de l’évocation de

« l’enfant qui ne sait pas interroger »,. Cela nous enseigne que notre devoir de relater l’Exode a

principalement trait à cet enfant non initié. Nous devons trouver les mots pour inspirer jusqu’à

cette sorte d’enfant à la gratitude envers D.ieu, pour nous avoir libérés de l’Égypte ainsi que de

toutes les Égyptes passées, présentes et futures, personnelles et collectives.

La raison en est que l’Exode d’Égypte fut intégral : pas un Juif ne demeura en Égypte. Et

puisque l’Exode fut aussi abouti, la transmission de son message doit également atteindre chaque

individu susceptible de le comprendre, fut-ce au prix d’efforts immenses.

 

 

 

Bo Quiz

1)Q.  “The locusts went up over the entire land of Egypt and rested in all the borders of Egypt.” (10:14) Why does the Torah repeat “all the borders of Egypt” after it already said that the locusts “went up over the entire land of Egypt”?      

   A.  The Jews of Egypt lived in the city of Goshen.  Goshen was not affected by any of the plagues. The locusts were meant to destroy any vegetation not previously destroyed by the hail. Knowing that very shortly the Jewish people would be leaving Egypt, God sent the locusts. They covered Egypt from border to border including Goshen in order to ensure that the Egyptians would have no benefit from the Jewish fields in Goshen.     

2)Q.  Why did God make a plague of darkness?

    A.   The Midrashim give two reasons: The first is because there were Jews who were evil and needed to be killed before the Exodus.  God didn’t want the Egyptians to see them die during one of the plagues because then they would say that the Jews are also dying, so he killed them in the darkness (according to some opinions (quoted by Rashi) 80% of Benei Yisrael died during the 3 days of darkness.  This Midrash seems unlikely however since there were about 1.5 million Jews that left Egypt.  If that was only 1/5th of the population that would mean that there were about 7.5 million to start with and they were only 70 people several generations earlier).  The second reason given for the plague of darkness was that God wanted the Jews to get all their property back from the Egyptians. The Midrash explains that during the darkness the Jews were able to see. They went to the Egyptians homes and saw where all their valuables were. After the plague was over they went to the Egyptians and asked them to return their property.  If the Egyptians denied it they would tell them exactly were their property was.  Some believe that the plague of darkness was a Saharan sandstorm and that would preclude the Jews from being able to see during this plague.

3)Q.  Rashi explains that during the first three days of darkness, no one was able to see anyone else. During the succeeding days, the darkness was so thick that if an Egyptian was sitting, he was unable to stand up, and if he was standing, he was unable to sit down. Every plague lasted seven days (except the plague of the firstborn). Why did the plague of darkness last only six days?

    A.  When the Jews left Egypt and traveled in the desert, clouds of glory accompanied them. During the day, the clouds would clear a path in the desert, and at night a pillar of fire lit up the camp. When the Egyptians pursued the Jews, the Torah says, “There was a cloud of darkness [for the Egyptians] and the night was illuminated [for the Jews through a pillar of fire]” (14:20). Thus, God reserved the remaining seventh day of darkness to punish the Egyptians when they chased after the Jewish people.

4) Q.  If the Egyptian slaves and the Egyptian animals did nothing wrong, why were there firstborns killed?

    A. The midrash teaches that the maidservants’ firstborns died because they also subjugated the Jewish People and rejoiced in their suffering. The animals’ firstborns died because the Egyptians worshipped them as gods and when God punishes a nation He also destroys its gods.  This midrash seems uncomfortable believing that innocent people may die in a natural disaster.

5)Q.  Prior to the exodus from Egypt, what two Mitzvot involving blood did God give to the Jewish People?

    A. Circumcision and Korban Pesach.

6)Q.  Who among the firstborn of Egypt survived Makat Bechorot and why did he survive?

    A.   Pharaoh. God wanted him to witness the splitting of the sea.

7)Q.  What three historical events occurred on the 15th of Nissan (the date of Pesah), prior to the event of the Exodus from Egypt?

     A.  According to the Midrash, the angels came to promise that Sarah would have a son, Yitzhak was born, and the exile of the “covenant between parts” was decreed.  Part of the reason for this midrash is to show that God promised that the wandering would last 400 years and from the birth of Isaac till the Exodus was exactly 400 years to the day.  As discussed separately, Ramban disagrees and states the 400 years actually became 430 years, and God’s prediction to Abraham didn’t come true exactly, but God was pretty close.

8)Q. The only Tamei (non-Kosher) animal whose first-born is redeemed is the donkey.  Why were the donkeys favored?

     A.  The midrash associates this with the donkey assisting the Jewish People during the exodus.

9)Q.   If God said “This month shall be for you the first of months”, and he was referring to Nissan, why do we observe Tishre as the first month?

      A.  The more accepted opinion in the Gemara is that the world was created on the first of Nisaan and therefore Rosh Hodesh Nisaan would be Rosh Hashana.  This is why we recite the blessing on the sun – Birkat Hachama (recited once every 28 years – weather permitting) in Nisaan and not in Tishre. However, according to another opinion, God created the world on the first of Tishre (what we today call Rosh Hashana – Beginning of year).  In this parasha, God tells us that Nissan will be the “first of the months”, and we should count the other months based on Nisaan.  This is how it is done throughout the Bible.   Nissan is the first month for kings and holidays.  When writing official documents, they used to write “It is the second year in king so-and-so’s reign”.  For this counting we use Nissan to evaluate what year it is in his reign.

10) Q.  What is the name of the city in Goshen where Benei Yisrael lived and what is the name of the city they built as slaves for Pharaoh?

     A.  The name of the city that they lived in was Ra’meses.  This is the city named at the end of Bereshit when Jacob’s sons settle there, and it is also in this week’s Parasha as the city they left from when leaving Egypt.  The city they built, named in the beginning of Parashat Shemot is called Ra’amses.  In Hebrew these two cities are spelled the same but with slightly different vowels or Nekudot (the dots under the Hebrew letters).  It is very important when we read the Torah to pronounce every dot accurately, as this example shows, so that the correct cities are mentioned in the correct places

 

 

 

 

JEWISH QUOTES

 

 

 Sinful thoughts are even more dangerous than sin itself.

The Talmud

 

As you do, so will you be done by." ~~ Talmud

 

 

God knows that the best synagogue is the human heart

Hasidic Proverb

 

 

 

A person must never open his mouth to Satan. [Guard your tongue!] " ~~ Talmud, Berakhot

Who walks with wise men becomes wise." ~~ Proverbs

 

 

 

Who gives to the poor shall not lack." ~~ Proverbs (

 

A man is bitter against those that envy him, and is grieved if no one does. " ~~ Mishle Yehoshua

 

 

If we do not help a man in trouble, it is as if we caused the trouble." ~~ Nachman of Bratslav

 

You can tell a Jew by how he treats his children." ~~ Talmud, Nedarim

 

THE CHABBAT SMILE

A man walked to the top of a hill to talk to G-d.

The man asked, "G-d, what's a million years to you?"

And G-d said "A minute."

Then the man asked:

"Well, what's a million dollars to you?"

and G-d said: "A penny"

Then the man asked:

"G-d.....can I have a penny?"

And G-d said:

"Sure.....In a minute.

 

Two beggars are sitting on a park bench in Mexico City. One is holding a cross and one a Star of David. Both are holding hats to collect contributions.

  People walk by, lift their noses at the man with the Star of David and drop money in the hat held by the man with the cross.

  Soon the hat of the  man with the cross is overflowing with coins and notes and the hat of the man with the Star of David is empty.

  A priest watches and then approaches the men. He turns to the man with the Star of David and says: "Young man. Don't you realize that this is a Catholic country? You'll never get any contributions in this country holding a Star of David."

 The man with the Star of David turns to the man with the cross and says: "Moishe, can you imagine, this guy is trying to tell us how to run our business."

 

 

 

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A lawyer and an engineer met at an exotic bar in a Caribbean resort, and small talk ensued.

"My house had burnt down," said the lawyer, "and everything I owned was destroyed by the fire. However, the insurance company paid for everything, so here I am, starting a new, wonderful life." "What a coincidence", said the engineer. "My house and all my belongings were destroyed by a flood. And now that the insurance paid for the damage, I too, am starting a new life."

The lawyer looked somewhat confused. "Interesting," he said to the engineer, "but how do you start a flood?"

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PROVERBES:

Mieux vaut finir sa vie dans les beaux jours que de commencer par eux

La plume de l'oiseau s'envole en l'air, mais elle termine à terre

Pouvoir faire le mal et ne pas le faire est une belle gloire.

L'oisiveté est la mère du souci.

L'hypocrisie a beau se déguiser, tôt ou tard elle est vaincue

Une fois le dîner fini, on n'estime plus la cuillère

Une marque d'abondance est d'avoir beaucoup d'amis à sa table

Derrière les nuages, le ciel est toujours bleu.

Où il y a place dans le cœur, il y a place au logis.

Qui est habile de ses mains ne meurt jamais de faim


 

LE SOURIRE DU CHABBAT

 

Une femme est partie en vacances au bord de la mer.

Elle téléphone à son mari :

– Allô, mon chéri, comment va le chat ?

– Il est mort.

– Oh ! Tu aurais pu me ménager, me dire qu’il se promenait sur le balcon, qu’un bruit l’a effrayé, qu’il a basculé et… Enfin, tant pis !

– Et, comment va maman ?

– Euh, elle se promenait avec lui sur le balcon…



 

La nouvelle institutrice a envie d’inculquer des notions de psychologie à ses élèves. Elle s’adresse à la classe en ces termes :

– Que celui qui a l’impression d’être stupide par moments se lève !

Après une bonne dizaine de secondes, Pierre (encore lui !) se lève… de mauvaise grâce.

L’institutrice étonnée lui demande :

– Alors comme ça, Pierre, tu penses que de temps en temps tu peux être stupide ?

– Oh non, madame, mais ça me faisait de la peine de vous voir toute seule debout…



 

Un père et son fils sont sur la plage.

- Oh papa, regarde le beau bateau

- Fils, ce n'est pas un bateau mais c'est un yacht

- Ah oui, et comment ça écrit?

- Heu..., attend ..., non  tu as raison  c'est un bateau




 

CHABBAT CHALOM 

MAGHEN ABRAHAM

 

David Hasson

 

 

 

 

 

 

 

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Tue, April 23 2024 15 Nisan 5784